dimanche 8 mars 2015

Brio un amour de petit podenco (Chapitre 49)

Jeudi 5, Vendredi 6 et Samedi 7 mars


Mais non je n'avais pas disparu, mais oui je suis vivant et bien vivant, mais ma maman a fait tellement de choses en cette fin de semaine, qu'elle n'avait plus le temps de m'accompagner sur le clavier ! Il faut dire qu'on lui a donné du travail nous aussi !

Comme il faisait très beau, elle a décidé de faire un grand nettoyage de printemps, tout y est passé, la maison, le parquet, les canapés, les fauteuils, nos paniers ! Que d'aller-retour au sous-sol pour le lave-linge. J'en sais quelque chose, je descendais et remontais aussi les escaliers à chaque fois. Ma maman sourit quand je monte les escaliers, je ne sais pas faire comme mes copains. Je mets une patte avant sur la marche, puis je ramène l'autre sur la même marche et de nouveau jusqu'en haut ! 
Il faut dire aussi qu'on a mis de la terre et de la poussière partout quand il pleuvait ! La serpillière est toute usée !
 
Pour un peu elle nous aurait mis des chaussettes pour rentrer ! 









Mais pendant ce temps là nous on jouait dans le jardin. Mais ma maman m'a un peu grondé. Elle devait souvent venir me calmer, elle trouvait que j'aboyait sans arrêt. Evidemment, mais à l'entrée de part et d'autre du chemin, il y a un labrador noir et un beige qui ne font que japper. J'essayais de parler plus fort qu'eux pour qu'ils se taisent, mais c'était pire. Quelquefois Onyx venait m'aider, mais ma maman ne voulait pas non plus ! Ce n'est pas juste, eux on ne leur disait rien ! 

Et puis quand on allait de l'autre côté du jardin, il ya les 2 cocker spaniels, la mère elle veut toujours nous attaquer à travers le grillage pour défendre sa fille. Comme si elle en avait besoin cette grande snob! Au fond du jardin, il y a un vieux jack qui jappe beaucoup aussi, alors j'essaye également de le faire taire, mais il rigole quand il m'entend ! Eh gamin tu crois que tu m'impressionnes ! 

Alors je tourne encore et là c'est l'oie de Guinée qui appelle au secours et 2 chats qui jouent sur la pelouse du voisin. Ma maman dit vivement le printemps que les feuilles recouvrent les haies de charmes! 

Et puis il a ceux qui ne pensent qu'à bronzer, toujours les mêmes ! 




Bon je démissionne, je retourne à mon passe-temps favori, le "reniflage" et comme plein de fleurs sortent, je vais voir si elles sentent toutes bon. Il y en a j'aimerais bien les goûter, surtout la petite herbe bien verte et bien tendre !




De temps en temps on rentre se reposer un peu ! Un peu de chaleur dans la véranda, bien tassés sur la banquette.


J'adore faire les doux yeux à ma maman, à chaque fois elle craque et me fait plein de câlins et de bisous. 



Onyx a retrouvé son calme !


Quant à Diva, même une explosion ne la réveillerait pas ! Une vraie marmotte !


 La Reine-Mère ne vient pas avec nous, elle il lui faut ses aises, et à l'ombre ! 


Là on rentrait de ballade alors on était plutôt tous tranquilles dans le jardin. C'est fatigant de marcher longtemps ! 
Ma maman elle dit que je trottine en tricotant avec mes pattes arrière et comme un crabe un peu sur le côté. Je fais des torsades d'herbe dit-elle !




Hier Django a recommencer à faire des crises d'épilepsie, dont une sur un canapé. C'est Lucia qui a prévenu maman en grognant, ce qu'elle ne fait jamais, mais il était tombé sur elle ! Il a fallu que ma maman après s'être occupé de lui, lave tout le canapé, heureusement qu'elle met des housses et des plaids. Du coup on a été privés de ce canapé, bien sûr le plus grand, le temps de tout changer. C'est Lucia qui râlait. Quand la crise était terminée, pendant plusieurs heures, elle ne voulait plus que Django l'approche, elle grognait beaucoup. Ma maman a dit qu'il avait du tomber sur sa hanche et ça elle ne supporte pas ! Et puis il est tellement bizarre après. Maintenant je ne dis plus rien, sinon ma maman va encore mettre sa main sur mon cou pour que je me couche sagement, comme lui a dit sa copine !

Une fois les crises passées, il s'est endormi d'un coup !


Et puis nous aussi, toutes ces journées au grand air nous avaient bien fatigués !




























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